Nos buts
Nous avons pour but la valorisation du Pastoralisme itinérant en territoire de Provence, d'intégrer le concept de la valorisation territoriale par un procédé écologique et économique parfait, maintenir et encourager la biodiversité par ce même procédé, diminuer les risques de feux de forêt par le passage du troupeau. Organisations de manifestations culturelles ainsi qu'éducatives en milieu ouvert autour du troupeau et des chiens de conduite. Pour les personnes en détresse, situation familiale difficile, ou personnes sortant d'une grosse dépendance, notre association s'engage à faire de la thérapie animale.Le contact animal aide fortement les individus a trouver leur place dans la société grâce à un procédé simple, le contact du troupeau, la nature et l'exercice qui permet de s'évader..La dépression par exemple est soignée grâce à ce concept. Tout naturellement, sans médecine, occuper sa pensée aide à se libérer d'un problème moral...
Notre exercice économique lié à ceci sera lié à la commercialisation d'un produit de qualité, local, et valorisé par son origine.
Notre ambition?
Pouvoir partir avec notre troupeau en alpage de Juin 2015 à Octobre 2015, de préférence dans le Vercors, Pourquoi le Vercors? Car je le connais très bien et les collectivités territoriales seront peut-être d'accord pour nous donner une place en estive. Sinon, nous essayerons d'intégrer un groupement pastoral;
Nous voulons faire un élevage extensif, sans que les bêtes souffrent, mais que celles ci aient l'illusion de la liberté. Nous recherchons le bonheur des animaux avant tout car notre passion pour l'élevage est plus forte que tout..
Un berger sans terres, qu'est ce?
L'activité pastorale est encore très dynamique. Elle représente une activité économique essentielle pour la région PACA. Plus de 1 200 éleveurs transhument sur des estives collectives. Sur ce territoire se trouvent des fermes de petites tailles. Cette activité est indispensable voire vitale pour bon nombre d'exploitations (système des éleveurs transhumants). La transhumance permet de libérer les prairies pour constituer les stocks de fourrages d'hiver.
Malheureusement, depuis une vingtaine d'année le manque de main d'œuvre sur les exploitations se fait sentir. Cela occasionne des problèmes de gardiennage. Des alternatives à cette récente mutation devront être apportées, et le système berger sans terre pourra sans doute être une des options les plus répandues.
Les bergers sans terre ont un mode de fonctionnement totalement dépendant de la montagne. N'ayant pas d'exploitation, ils restent au cayolar durant toute la saison de la transhumance (début mai à fin octobre : l'équivalent de la moitié de l'année). Aujourd'hui, une remarquable complémentarité entre ces deux systèmes est constatée. Sans doute, ces prochaines années, cette interdépendance sera encore plus frappante.
Par ailleurs, pour des jeunes Hors Cadre Familiaux HCF ayant un projet d'installation avec une forte complémentarité plaine montagne, le système berger sans terre peut être une alternative. Ces dernières années, le prix du foncier a explosé. Cet environnement rend difficile la reprise d'exploitation par des HCF. Le système berger sans terre ne demande pas la réalisation de lourds investissements. A son actif, le berger possède un troupeau de brebis ainsi que des accessoires notamment pour la fabrication du fromage. L'été, il loue les terres d'altitudes à la Commission syndicale à des tarifs corrects. L'hiver par contre, il doit négocier les pacages ainsi qu'une bergerie à un propriétaire. Le statut du berger sans terre est d'une stabilité variable, d'ailleurs la saison d'hiver fragilise son fonctionnement.
Appelés aussi bergers itinérants ce sont des éleveurs dont le capital d’exploitation est constitué par le troupeau. Ils n’ont pas de base foncière proprement dite. Les bâtiments utilisés sont des bergeries louées, ou des bergeries serres. L’alimentation est assurée par la pâture sur des places louées, des herbes achetées qui peuvent conduire à des déplacements fréquents du troupeau. Celui-ci « récupère » l’herbe disponible des prés non fauchés, des vignes, des friches (campas) ou des bois. La signature de conventions de pâturage en forêt permet à ces éleveurs d’avoir des garanties foncières sur une partie de leur territoire pastoral.
Les effectifs troupeaux de ce groupe vont de 20 à 2000 brebis. Les plus petits effectifs sont souvent détenus par des bergers d’autres éleveurs mais qui peuvent avoir un statut d’exploitant agricole à partir de 70 brebis.
Du fait de leur nomadisme et de leurs pratiques extensives, il est très difficile d'obtenir des données techniques et économiques régulières et fiables
Notre exercice économique lié à ceci sera lié à la commercialisation d'un produit de qualité, local, et valorisé par son origine.
Notre ambition?
Pouvoir partir avec notre troupeau en alpage de Juin 2015 à Octobre 2015, de préférence dans le Vercors, Pourquoi le Vercors? Car je le connais très bien et les collectivités territoriales seront peut-être d'accord pour nous donner une place en estive. Sinon, nous essayerons d'intégrer un groupement pastoral;
Nous voulons faire un élevage extensif, sans que les bêtes souffrent, mais que celles ci aient l'illusion de la liberté. Nous recherchons le bonheur des animaux avant tout car notre passion pour l'élevage est plus forte que tout..
Un berger sans terres, qu'est ce?
L'activité pastorale est encore très dynamique. Elle représente une activité économique essentielle pour la région PACA. Plus de 1 200 éleveurs transhument sur des estives collectives. Sur ce territoire se trouvent des fermes de petites tailles. Cette activité est indispensable voire vitale pour bon nombre d'exploitations (système des éleveurs transhumants). La transhumance permet de libérer les prairies pour constituer les stocks de fourrages d'hiver.
Malheureusement, depuis une vingtaine d'année le manque de main d'œuvre sur les exploitations se fait sentir. Cela occasionne des problèmes de gardiennage. Des alternatives à cette récente mutation devront être apportées, et le système berger sans terre pourra sans doute être une des options les plus répandues.
Les bergers sans terre ont un mode de fonctionnement totalement dépendant de la montagne. N'ayant pas d'exploitation, ils restent au cayolar durant toute la saison de la transhumance (début mai à fin octobre : l'équivalent de la moitié de l'année). Aujourd'hui, une remarquable complémentarité entre ces deux systèmes est constatée. Sans doute, ces prochaines années, cette interdépendance sera encore plus frappante.
Par ailleurs, pour des jeunes Hors Cadre Familiaux HCF ayant un projet d'installation avec une forte complémentarité plaine montagne, le système berger sans terre peut être une alternative. Ces dernières années, le prix du foncier a explosé. Cet environnement rend difficile la reprise d'exploitation par des HCF. Le système berger sans terre ne demande pas la réalisation de lourds investissements. A son actif, le berger possède un troupeau de brebis ainsi que des accessoires notamment pour la fabrication du fromage. L'été, il loue les terres d'altitudes à la Commission syndicale à des tarifs corrects. L'hiver par contre, il doit négocier les pacages ainsi qu'une bergerie à un propriétaire. Le statut du berger sans terre est d'une stabilité variable, d'ailleurs la saison d'hiver fragilise son fonctionnement.
Appelés aussi bergers itinérants ce sont des éleveurs dont le capital d’exploitation est constitué par le troupeau. Ils n’ont pas de base foncière proprement dite. Les bâtiments utilisés sont des bergeries louées, ou des bergeries serres. L’alimentation est assurée par la pâture sur des places louées, des herbes achetées qui peuvent conduire à des déplacements fréquents du troupeau. Celui-ci « récupère » l’herbe disponible des prés non fauchés, des vignes, des friches (campas) ou des bois. La signature de conventions de pâturage en forêt permet à ces éleveurs d’avoir des garanties foncières sur une partie de leur territoire pastoral.
Les effectifs troupeaux de ce groupe vont de 20 à 2000 brebis. Les plus petits effectifs sont souvent détenus par des bergers d’autres éleveurs mais qui peuvent avoir un statut d’exploitant agricole à partir de 70 brebis.
Du fait de leur nomadisme et de leurs pratiques extensives, il est très difficile d'obtenir des données techniques et économiques régulières et fiables